L’an dernier âgé de 30 ans, ma sage-femme m’annonce que mon frottis nécessite des examens complémentaires. Je n’ai pas trouvé de gynécologues qui me convenaient. J’ai choisi de consulter des sages femmes. J’ai été touchée par leur approche remplie de douceur, moins onéreuse, plus à l’écoute et avec des traitements naturels.
Diagnostic et Prise de conscience
Je vais donc voir une gynécologue pour faire une biopsie du col de l’utérus. Quelques semaines plus tard, il est confirmé que j’ai « un pré-cancer », du col de l’utérus dit aussi Papilloma Virus. Papilloma assez fort qui n’en est plus au stade de cautérisation des plaies mais qui nécessitent d’enlever la partie abîmée. La gynécologue évoque l’intervention chirurgicale. Je choisi de prendre le temps de digérer la nouvelle. Une partie de mon corps est meurtrie. Je n’ai pas d’enfant. L’intervention chirurgicale n’est pas anodine et j’ai mille et une questions : Est-ce un hasard que cela m’arrive maintenant ? Pourquoi cette partie du corps ? Est-ce que je veux réellement des enfants ? Quelles mémoires m’empêchent de guérir ? Suis-je respectueuse et en lien avec cette partie de mon corps ?
Trouver une solution alternative
Je fais donc des recherches pour savoir si ce type de virus peut-être soigné autrement que par une intervention chirurgicale. Je repense aux ouvrages de Rina Nissim (naturopathe et co-fondatrice du dispensaire des femmes à Genève) et son Manuel gynécologie et naturopathie, phytothérapie. Je fais des recherches sur internet. Pranarôm en Belgique (laboratoire d’Huiles essentielles) me donne un contact un France qui me suggère un mélange d’huiles essentielles qui pourrait correspondre à mon besoin. Je contacte Bérengère Arnal à Bordeaux, gynécologue spécialisée dans le cancer du sein. Il y a une liste d’attente pour prendre rendez-vous. Je sollicite les personnes thérapeutes de mon entourage pour leurs demander conseils. Une amie partage avec moi la formule d’huiles essentielles d’Aude Maillard (aromathérapeute Docteur en Pharmacie) similaire à celle recueillie par Pranarôm. Je garde précieusement les différentes formules qui m’ont été transmise mais je cherche à faire un bilan plus global sur le plan physique et émotionnel. Je décide donc d’aller voir une Naturopathe à Larçay, Monique Henry.
Mes traitements, mes soins, ma guérison
Nous échangeons sur le contexte de cette situation, sur ma manière de vivre de manière globale. Il y a un rééquilibrage alimentaire qui m’est proposé, ainsi qu’un rééquilibre émotionnel à mener. Un traitement à base d’ovules avec des huiles essentielles et des préparations de plantes m’est donné. Mon traitement est complété par un mélange de Fleurs de Bach, un soin énergétique et d’ olfactothérapie. J’ai suivi ce traitement pendant trois semaines, puis j’ai fait une pause. J’ai poursuivi avec une détox du foie avant de refaire un frottis. En parallèle, je faisais des méditations et visualisations de mon col de l’utérus. Je me suis tournée vers des cercles de femmes, des bénédictions d’utérus avec Nathalie Sorgniard. Deux mois après, le frottis est revenu négatif. J’étais guérie !!! Ma guérison a été confirmée six mois après lors d’un nouveau contrôle.
Ma sage femme et ma gynéco ont douté de mes recherches mais il était pour moi important d’aller plus loin dans l’analyse de la maladie : essayer d’en comprendre l’origine, c’était explorer d’autres méthodes. Je suis heureuse d’avoir écouter mon intuition et particulièrement heureuse d’avoir respecter mon corps et surtout cette zone.
Ma guérison a été double à la fois psychologique et physique. L’un ne va pas sans l’autre. Mettre un pansement sans aller plus loin aurait masqué la véritable origine de mon mal. J’aime cette expression « le mal à dit…maladie ». Parce que j’ai été à l’écoute de mes maux, j’ai touché et reconnecté mon féminin, en guérissant des blessures profondes.
Je suis disponible pour répondre à vos questions si vous en avez. Vous pouvez me contacter par message privé.